A vrai dire il n'y a pas grand chose de plus à comprendre. Les gens meurent & c'est comme ça. A l'intérieur il ne me manque rien, on aurait pu être mille, les choses auraient été exactement les mêmes. A deux doigts de me fondre de nouveau dans un état d'ataraxie, voila que les ombres ressurgissent encore une fois. A mettre sur le compte de la fatalité & de poètes à deux balles qui n'ont rien d'autres que  leurs songes à traduire en mots. C'est l'hopital de leur rêves. & moi les cascades de miettes ça m'écoeure. Trop de larmes, trop de drames, trop d'amour et de rancoeur. Entre vous c'est l'élégance sucré. Entre les gens du monde c'est la folie des apparences dorés. Derrière les murs, trop de verres cassés pour moi, je ne me couperais plus avec vos lames de paroles, vos mensonges à l'encre de chine. Ah, mais ces gens là partent toujours en oubliant, monsieur. Ils ont trop d'estime pour eux, & ne sont pas plus fort que moi. Ils ont peur, plus que tu ne le crois. Je n'ai pas finis de me cogner, mais je ne pourrais plus lutter. Contre Toi & tes rêves de voleur, pirate des coeurs. Contre les petits soldats de ma tête & les frustrations illusoires. Plutôt finir de se consumer dans le noir. Je tends mes mains vers de nouvelles histoires, en goutant avec délicatesses à ces sensations intrusives que je laisserais à présent fleurir au delà du soir.